Attention après le préventif c’est à dire le fait de capturer les papillons mâles, vient le curatif.
Pour cela il faut arriver au PIC de capture.
Si :
dans la semaine S25 (du 15 au 21 juin) vous avez capturé 2 papillons
dans la semaine S26 (du 22 au 28 juin) vous avez capturé 12 papillons
dans la semaine S27 (du 29 au 5 juillet) vous avez capturé moins de 12 papillons, cela prouvera que la semaine 26 fut le PIC de capture.
Par conséquent, si l’on ajoute 10 jours à partir du 28 Juin c’est à dire aux alentours du 7 JUILLET, il faudra procéder au 1er traitement avec l’insecticide acaricide (utilisable en Agriculture Biologique)« SPRUZIT EC » ICI
Je conseille de faire un 2ème traitement une semaine après, aux alentours du 15 Juillet.
Les mois de Juillet, Août et Septembre sont les mois les plus préjudiciables de l’année pour les Buis, car il y à cette 2ème génération de chenilles qui fait beaucoup de dégâts.
Pour les JUILLETISTES, je recommande fortement de déléguer une personne de confiance pour faire ces traitements.
N’oubliez pas, vos Buis sont préservés par vos pièges mais les Buis de vos voisins ne le sont pas forcément?
Je connais des applicateurs professionnels sur Paris et Lyon.
Pour information je compte me déplacer sur LYON (69000 et 42000) pour procéder à des traitements en juillet. 06 85 23 38 76
Bonjour à tous. Le festival continue et s’amplifie. Actuellement je suis obligé de vider mes pièges tous les jours tellement il y a de papillons mais le pire c’est sur la piscine, hier soir j’ai dû capturer entre 800 et 1000 papillons, c’est trop difficile à compter tellement il y en a. Je ne sais pas si je vais pouvoir me débarrasser de cette mais j’en doute de plus en plus. Bon courage à tous.
Bonjour,
Mes buis sont envahis pour la deuxième année par la Pyrale. J’ai installé des pièges à phéromones qui piègent les papillons mais les chenilles réapparaissent régulièrement. C’est le cas actuellement je dois encore traiter. J’utilise jusqu’à présent de Bacillus Thurengiensis…. Ma question est la suivante : à proximité immédiate de mes buis se trouvent des pieds de tomates…. Quel est le risque pour la consommation par rapport au Bacillus ou par rapport à votre produit. A cette question, j’obtiens à chaque fois des réponses différentes… ( les tomates , pour certaines d’entre elles, touchent les buis). Merci
Bonjour Monsieur DUBUN,
A priori le BT ou BTk(Bacillus Thurengiensis) ne vous expose pas à des risques de consommation de vos tomates. Naturellement il est impératif de bien laver les légumes avant leur consommation. Je résumerais qu’il est largement préférable d’utiliser le « Spruzit EC » de classification « N » sans subir les contraintes citées ci-dessous et avec un meilleur résultat final. Il n’y a pas de précaution particulière excepté qu’il faut traiter en matinée ou en soirée, (le traitement agit par contact et asphyxie sur de nombreux ravageurs en induisant leur paralysie puis leur élimination et ce en moins de 24h).
Pour les personnes qui persistent avec l’emploi du BT ou BTk, il faut l’utiliser avec beaucoup de précautions pour l’applicateur ainsi que pour l’environnement, lire avec beaucoup d’attention le mode d’emploi. L’entrée dans la parcelle doit être de 24 heures après application. De plus le produit est classé « XI » c’est à dire Irritant pour les yeux et pour la peau donc un équipement complet est nécessaire. Les rayons du soleil sont à proscrire. Après une pluie de plus de 20 minutes les bacilles n’étant pas mobiles tombent au sol et perdent leur efficacité. Au stade de 3/5 les chenilles se préparent pour faire leurs chrysalides, elles ne s’alimentent plus, donc le bacillus (BT) n’a plus d’efficacité.
Pour les passionnés de lecture lisez la suite.
Voici un copié collé qui est sur internet par WIKIPEDIA concernant le Bacillus thuringiensis :
Avantages et inconvénients[modifier | modifier le code]
La thuringiensine (ou toxines dites Bt) est une protéine cristalline très sensible aux rayons ultraviolets solaires qui la dégradent rapidement, et elle est très instable en phase aqueuse3 et sa demi-vie diminue quand la température monte. Le Bt utilisé en pulvérisation a donc l’avantage d’être peu rémanent sur les feuilles (un peu plus dans le sol). Ce produit lorsqu’il est d’origine naturelle, est autorisé en agriculture bio, sous forme de poudre.
La toxicité du Bt pur pour des animaux à sang chaud n’est pas nulle 4. Par exemple, la thuringiensine purifiée inhalée présente une toxicité pulmonaire significative chez le rat de laboratoire (souche Sprague-Dawley, traité via l’instillation intratrachéale) chez des, avec 0 ; 0,4; 0,8; 1,6; 3,2 ; 6,4 et 9,6l mg de thuringiensine par kg de poids corporel. La DL50 aiguë pulmonaire est de 4,4 mg/kg. Et le nombre de cellules inflammatoires et la quantité de lactate déshydrogénase (LDH) dans le lavage broncho-alvéolaire (LBA) augmentent de manière « dose-dépendante »4. Avec une dose efficace de 1,6 mg/kg retenue pour l’étude de l’évolution temporelle de la toxicité pulmonaire ; Le poids des poumons a augmenté chez les rats traités, ainsi que le taux d’hydroxyproline pulmonaire et le nombre total de cellules trouvées dans le LBA 2, 4, 7, 14, 28 et 56 jours après le traitement. Par rapport aux témoins, les taux de protéines totales du LBA ont augmenté de 361, 615, 116, 41, 34 et 41%, après respectivement 2, 4, 7, 14, 28 et 564. L’activité de l’enzyme LDH dans le LBA a montré une augmentation significative après 1, 2, 4, 7, 14, 28 et 56 jours, et le taux de fibronectine s’est élevé de 164, 552, 490, 769, 335, 257 et 61%, mais ni le facteur de nécrose tumorale, ni l’interleukine-1 ont augmenté4. L’histologie des rats traités était anormale (avec une inflammation bronchiolitique et des alvéoles puis nécroses cellulaires dans les bronches aux jours 1 et 2, avec des zones d’épaississement septal, infiltration cellulaire et dépôt de collagène dans les espaces alvéolaires et intestinaux durant les jours 4 à 5 6. La thuringiensine purifiée présente donc une toxicité pulmonaire chez le rat4 et le stress oxydatif semble en cause5. La thuringiensine peut aussi négativement agir sur l’adenylate cyclase dans le cerveau du rat6
L’industrie des biotechnologies a produit des plantes transgéniques dite « Bt », c’est-à-dire modifiées par ajout d’un ou plusieurs des gènes codant la toxine insecticide (Cry1Ab) de Bacillus thuringiensis.
Elles en produisent dans leurs tissus aériens (feuilles et tige), dans leur pollen, mais également dans la sphère racinaire (rhizosphère), d’où le Bt pourrait s’accumuler plus longtemps dans le sol.
Risques liés à la persistance ou à la circulation du transgène dans l’environnement ? Le niveau de risque est discuté et il n’existe pas encore de consensus scientifique à ce propos.
Les bactéries sont dans certaines conditions susceptibles d’intégrer les gènes d’autres bactéries. Les gènes cry1Ab codant la production de protéines (« delta endotoxine ») dans le maïs nord-américain proviennent de B. thurigiensis kurstaki (Btk), bactérie très pathogène pour les papillons. Une étude a évalué la fréquence et la persistance du gène cry1Ab du maïs bt ou du bacille dans les milieux aquatiques, ou à proximité de champs où du maïs Bt a été cultivé.
L’étude a été précédée d’une validation méthodologique de préparation des échantillons et d’extraction de l’ADN (par PCR) dans différentes matrices (eau, sol, sédiment…). Des eaux de surface et des sédiments artificiellement enrichis avec une quantité connue d’ADN génomique provenant de bacilles ou de maïs Bt ont ensuite été étudiés in vitro, pour évaluer la persistance du gène cry1Ab. Enfin, du sol, des sédiments, de l’eau et d’autres échantillons ont été collectés avant les semis, puis 15 jours après la libération du pollen de maïs, après la récolte mécanique et lors du labour (enfouissement des racines) pour y mesurer la présence de gènes cry1Ab.
Le gène cry1Ab s’est montré persistant durant en moyenne 21 jours dans les eaux de surface et presque deux fois plus longtemps (41 jours) dans les sédiments. Dans les sédiments argilo-sableux, le gène était encore présent après 40 jours. L’étude a aussi montré que les gènes cry1Ab gènes provenant du maïs transgénique ou de source naturelle sont plus abondant dans les sédiments que dans les eaux de surface. Le transgène cry1Ab est transporté par le courant. Le transgène a été détecté dans la rivière Richelieu et le fleuve Saint-Laurent jusqu’à (82 km en aval de la zone de culture) suggérant de multiples apports de ce gène, ou qu’il est transporté sur de longues distances avant d’être dégradé.
Le transgène cry1Ab issu du maïs Bt tend à diminuer au fur et à mesure que l’on s’éloigne des cultures de maïs Bt, et il est d’autant plus présent dans les sédiments qu’il l’est dans les eaux de surface (Corrélation significative : R = 0,83; P = 0,04). L’étude7 a donc conclu que l’ADN de maïs Bt et de Bt persiste dans les milieux aquatiques, et qu’il est présent dans les rivières drainant les zones agricoles et en aval.
Persistance de la toxine Bt, avec risque d’impact sur les écosystèmes ?
Certains chercheurs, dont en France l’écotoxicologue jean-François Narbonne, ont au début des années 2000 alerté sur le fait que ce Bt, en s’accumulant puisse finir par poser problème : toxicité du sol contaminé, accumulation dans les sédiments toxique dans les fleuves et estuaires. On en a d’abord trouvé dans le fleuve Saint-Laurent au Canada, en aval des zones de grande culture, puis Todd Royer, coauteur d’une étude américaine récente (2007) 8 renforce et relaye cette inquiétude aux USA ; Les analyses faites sur 12 sites de l’Indiana (USA) ont en effet montré que les taux de bt deviennent effectivement préoccupants dans les cours d’eau, au point d’affecter certains invertébrés aquatiques jugés bioindicateurs de la qualité des écosystèmes aquatiques (ex : grande phrygane), dont la croissance est affectée par cette toxine, qui tue la phrygane à forte dose. Cette étude, qui a porté sur 12 sites choisis dans l’État de l’Indiana, attribue l’origine de ce Bt aux maïs transgéniques cultivés dans les bassins versants de ces rivières. Ils y libèrent des toxines BT dans l’environnement du bassin versant, d’où elles sont apportées jusqu’aux fossés et rivières par le ruissellement. L’étude évoque notamment pour la première fois le rôle des pollens et des déchets ou résidus de maïs comme source non négligeable de toxines. Ces derniers peuvent s’accumuler, se dégrader et être transportés par l’eau vers le bas des bassins versants. Le pollen du maïs est assez lourd pour ne pas être transporté loin par le vent (sauf tempête printannière)9, mais ce pollen de forme très arrondie et dépourvu de spicules est facilement emporté par le ruissellement et peut alors se concentrer en certains points (flaques, ornières, fossés, sédiments des cours d’eau). Le poids de pollen émis annuellement par hectare est faible, le nombre de grains de pollen est très élevé et les émissions se font massivement en quelques jours ou semaines, à la fin du printemps et au début de l’été à un moment important pour de nombreuses espèces (reproduction/ponte ou croissance des alevins). Beaucoup d’études ont concerné la dispersion des pollens viables, mais on a peu d’informations sur leur devenir dans l’environnement ensuite.
Les auteurs notent que le maïs nord-américain est de plus en plus OGM (presque exclusivement), et sa surface s’est encore accrue dans les plaines du Midwest pour produire des agrocarburants. Ce maïs est justement souvent planté à proximité de fleuves et rivières ou de zone irrigables, car c’est une plante particulièrement consommatrice en eau.
Des tests de nourrissage d’insectes aquatiques avec du Bt, faits lors de cette étude ont montré qu’à faible dose le bt inhibait leur croissance, et qu’à dose plus élevée, il augmentait les taux de mortalité.
Ainsi contrairement aux affirmations de l’EPA en 1996 lors de l’autorisation du premier maïs OGM américain, le Bt pourrait avoir des impacts collatéraux sur des espèces non-cibles. Les premiers tests avaient été faits avec des daphnies qui sont des crustacés d’eau douce et qui ne semblent pas affectées par le Bt.
Enfin, le risque existe toujours d’apparition de résistances de la part d’insectes ou autres invertébrés qui y seraient constamment exposés.
Invasion impressionnante de papillons de la pyrale volant en pleine matinée par milliers, couvrant toutes les plantes; il s’en envole des dizaine en secouant une petite branche!!!
Elles volent sur vos vêtements (j’en ai écrasé des dizaines). Le buis du villages sont tous secs.
lieu: au pied du Vercors, saint martin d’hostun. Très, très impressionnant !
Bonsoir Monsieur Maddio,
Effectivement depuis 3 semaines, nombreuses sont les personnes du Vercors, (épargné jusque là ) qui me passent commande pour les pièges ainsi que les diffuseurs(ou attractifs) dont l’efficacité est fulgurante. je ne peux que recommander de procéder à la capture des papillons car la troisième génération doit être éliminée au plus vite sinon on la retrouvera au printemps 2016.
Surtout ne baissez pas les bras car les buis sont très résistants et malgré une forte défoliation ils ferons un nouveau feuillage et ce à condition de bien suivre les conseils que je préconise sur mon site ainsi que sur mes protocoles et mode d’emploi que je joints à toute commande. Strasbourg était dans la même situation en 2010 et je peux vous garantir qu’en 1 an les plus gros foyers infestés ont été maîtrisés.
Bonjour à tous. Depuis 8 jours c’est une invasion de papillons, j’ai 3 pièges à phéromones qui fonctionnent à plein avec une bonne dizaine de capture par jour. Le soir j’eclaire la piscine de 22h à minuit et là c’est un festival. Je n’arrive même pas à compter tellement il y en a. Depuis 3 jours c’est au minimum 200 papillons chaque soir, je suis complètement dégoûté car malgré tous les traitement le phénomène ne ralentit pas. Au secours.
Bonjour, veuillez m’appeler au 06 85 23 38 76 et je vous donnerai la solution. Christian Marchand
Hier soir l’horreur, je vais sur ma terrasse où j ‘ai un buis en pot, je m’approche du pot pour l’arroser et quelques papillons blancs s’envolent, je regarde plus près et je m’aperçois qu’il y en a plusieurs en attente. Je vais sur le net pour vérifier et c’est bien ces destructeurs de buis. Je mets mes gants et je les attrappe tous un à un et je les écrase. Je trouve même une chenille planquée au milieu du buis, idem pour elle.
J’ai terminé en arrosant longuement, mais je vois qu’il y a encore plein de petites boules.
Que dois faire, est ce que mon buis est condamné ?
Est ce que d’après vous il reste des chenilles, quel est le processus ?
J’habite dans le haut Rhin près d’Altkirch
Merci pour votre réponse
Catherine
Bonjour Catherine,
Veuillez me rappeler au 06 85 23 38 76, je me ferai un plaisir de vous répondre et vous aurai la réponse à toutes vos questions.
Cordialement, Christian Marchand.
Bonjour,
Depuis 2 jours, invasion massive dans le Vercors à 400 m d’altitude de ce papillon ! C’est la 1ère fois que nous le voyons ici ! Comment procéder face à l’ampleur du phénomène ?
Nous sommes entouré de buis, je suis inquiète !
Cordialement
Bonjour Monsieur Philippeau,
Veuillez me rappeler svp au 06 85 23 38 76
D’avance merci, Christian Marchand
bjr J’aimerais enfin savoir si pyrale du buis est aussi ce qu’on appelle mineuse du buis qui détruit les buis depuis quelques années ??
est ce que si on a installé des piège entonnoir pour la processionnaire du pin cela peut avoir une incidence sur les papillons du buis ?
on entend parler de plus en plus mineuse du buis mais sur le net on ne voit que pyrale du buis ???
cdlt
jp
Bonjour Monsieur Noirot,
Vous voulez savoir si pyrale du buis est aussi ce qu’on appelle mineuse du buis; non car en prenant les définitions de Wikipédia, la Mineuse est un nom vernaculaire ambigu désignant en français des chenilles de lépidoptères, d’hyménoptères ou des asticots de diptères phytophages qui creusent dans le limbe des feuilles des galeries, entre les 2 épidermes du limbe d’une feuille, formant ce que l’on appelle une mine.
Alors que la Pyrale du buis (Cydalima perspectalis) est une espèce d’insectes lépidoptères de la famille des Crambidae, originaire d’Asie (Chine, Japon, Corée, Inde et Extrême-Orient russe.)
C’est un papillon nocturne, attiré par la lumière, qu’on peut voir tournoyer autour de lampadaires, mais qu’on ne voit voler de jour que s’il a été effarouché.
La chenille de ce papillon ne semble consommer que des feuilles de buis (déjà observé en Europe sur Buxus sempervirens (buis commun) ; Buxus sempervirens L. rotundifolia (ou buis à feuilles rondes qui est une variété horticole) et Buxus colchica Pojark (ou buis de Colchide ou du Caucase).
votre question : Installer des pièges entonnoir pour la processionnaire du pin ça peut avoir une incidence sur les papillon des buis; non car les attractifs à Phéromone sont propre à chaque ravageur.